rocketbook et bic cahier réutilisable

Bic rachète Rocketbook, la marque américaine de cahier réutilisable

Bic rachète Rocketbook pour une bouchée de pain et agrandit encore sa gamme de produits avec ces les cahiers réutilisables de la marque américaine.

Présentation de Bic

La société française Bic a été crée en 1945. La société est en grande partie connue pour ces stylos. Mais au fur et à mesure des années Bic s’est développé et a choisi de vendre d’autres produits liés ou non à la papeterie. La marque produit donc aussi des rasoirs, des kayaks, des surfs, des briquets, des parfums et mêmes des téléphones portables. Mais en restant dans le monde de la papeterie Bic décide d’acheter la société de cahier réutilisable Rocketbook pour s’agrandir et se développer.

Présentation de la marque Rocketbook

Rocketbook est une marque de cahier réutilisable qui a réalisé un chiffre d’affaires de 32 millions de dollars en 2020. La gamme de produits phares de la marque sont le Rocketbook Core et le Rocketbook Fusion qui sont fournis avec leur stylo effaçable. Rocketbook dispose aussi d’une application sur Android et Ios pour prendre des photos de ses carnets. Ces blocs-notes connectés permettent d’avoir accès a ces notes via l’application avec un drive comme Outlook ou Dropbox.

Pourquoi Bic rachète Rocketbook ?

Bic qui est une grande multinationale cherche toujours de nouveaux produits en vogue. La société a donc tous de suite sautée sur l’opportunité d’acheter Rocketbook.

La société a seulement acheté la marque Rocketbook pour 40 millions de dollars. Si on compare avec son chiffre d’affaires mensuelles, c’est à peine plus d’une année pour rentabiliser la marque. C’est donc un bon choix financier pour Bic. Cette acquisition va permettre à la marque au stylo de se créer un nouveau marché avec ces cahiers réutilisables. Bic permet donc à tous les humains du monde d’avoir des produits essentiels de bonne qualité et sûrs avec ces bons carnets réutilisables. La marque Bic montre encore plus sa présence mondiale dans les stylos et cahiers. Où vont-ils s’arrêter ?